Sous le ciel de Ruysdaël… au son du chant des perroquets (mais oui) je retrouve mes camarades de lycée, la joie, la danse, la légèreté. Et la joie de prononcer à nouveau des mots que je croyais oubliés depuis des décennies : bambilic, patachina, tol festiv.
5 commentaires:
Bas les pattes, mon gros ,,la tol festiv'', elle est prise Anca, elle est trop belle pour toi !
L'ami Rrroumain jaloux pas comme un tigre, mais comme ,,un leu si 25 bani''
Ca sent le civilisation balkano-latine cela, oder…?
j'aimerais signer Sheer Khan, (Livre de le jungle) mais ce n'est qu'Anca
Le "qu'Anca " est certes d'un emodestie de bon aloi mais la chatte à défaut du tigre peut sortir ses griffes et mettre en fuite tout être, ours des Carpathes ou chien de Baskerville qui aurait l'audace de vouloir dépasser les normes de la bienséance amicale. Pas de crainte l'ami rrrroumain la Belle Anca veille ... et nous aussi !
Ce n'est plus de l'amour , c'est de la rage.
Ce n'est plus de l'amour , c'est de la rage.
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