samedi 31 août 2013

Je reprends goût à Paris

Rien de tel que les amis de l'étranger pour vous faire redécouvrir les charmes de votre ville. Difficile de rivaliser avec leur magnifique kibboutz et son atmosphère, mais la virée sur le port de la Bastille a fait plaisir à Patrick, Shuki, Ruth, Shira, Anita et les autres. Shana tova!

vendredi 30 août 2013

Mue

Le retour à la civilisation après dix jours qui m'avaient rendue à l'état sauvage (pas de maquillage, on mange ce qu'on veut quand on veut, pareil pour le sommeil, on ne prend aucun rendez-vous, on vit d'après le Soleil ou la Lune) n'est pas sans surprise : on y perd en liberté et sérénité, on y gagne en curiosité et en ouverture. Poursuivons l'adaptation le regard sur une image de Robinson dans son presqu'île.

jeudi 29 août 2013

Identités... ET FOLKLORE...andin

Je suis la Rrrroumaine (indépendamment du passeport, de ce que je me sens de ce que je suis) pour ceux qui ne sont pas Roumains. Preuve mon accent qu’ils n’ont pas deviné de prime abord, mais qu’ils décrètent à l’unanimité totalement roumain dès que je leur apprends que je suis née à Bucarest. C’est de ma faute, quand je dis que je suis née à Rome, ils décrètent que mon accent est incontestablement italien, mais la conversation tourne court plus vite : ils ne peuvent pas me dire qu’ils connaissent le Roumain qui est travailleur au noir/femme de ménage /mendiante/cambrioleur, etc.. (Ils ne connaissent jamais les Roumains que j’ai rencontré à Paris : Ionesco, Cioran, Eliade). Pour la plupart, les Roumains vivant en Roumanie jurent la main sur le cœur que, après quarante ans d’exil, je n’ai plus rien de roumain, surtout que mon accent étranger… Etant adoubée par les non connaisseurs à l’unanimité et rejetée par les originaires, j’en déduis que je dois être… Roumaine pour les étrangers et étrangères pour les Roumains. Personnellement, je pense que je suis Anca Visdei, née en Roumanie, de nationalité franco-suisse, vivant en Bretagne l’été et à Paris le reste de l’année, totalement européenne. Je me retrouve avec délices dans cette phrase d’Erwan Vallerie dans« Ils sont fous ces Bretons » (éditions, coop Breizh) : « (...) de toute façon aucun Breton n’acceptera volontiers de se laisser enfermer a priori dans une identité imposée. Tous, même les plus farouches, entendent n’être Bretons que parce qu’ils le veulent bien : c’est à eux de l’affirmer pas à vous. » Comme j’entends n’être Roumaine que parce je le veux bien et avec qui je veux, je déduis que je dois être...
Bretonne…

mardi 27 août 2013

Après la défection, la trahison!

Adorables lecteurs de mon blog, l'ami François vient de m'informer que mes copines bretonnes (Alexia, Maria, Jeanne et Berthe, merci les Editions Jos Le Doaré à Châteaulin), loin de me regretter, ont quitté notre bled pour faire carrière à Paris. Les sémillantes et immarcessibles bigoudennes feraient la pub' d'articles de bouche Pirpiac? (Prepeleac pour les lecteurs de geanta latina) à la télévision, elles sont devenues des divas et notre Cercle d'amateurs de cidre, de coiffes et de littérature (sans épluchures de patates, on ne plagie pas, contrairement aux moeurs du temps) n'était pour elles qu'une couverture. Le coeur brisé, je vais prendre le premier TGV pour Paris, noyer mon chagrin dans du Chateau-La-Pompe et boycotter la société du spectacle. Bas les pattes : vous avez pris les femmes, les mômes, lâchez nos vieilles! Laissez-en-moi au moins quelques unes, je les aime. Il paraît que nos glamoureuses commères ne disent qu'un mot dans le spot audiovisuel : Pirate! On leur a volé la recette du Koulibiac aux arapèdes (berniques, chapeaux chinois) ou quelque chose dans le genre. Et moi je dis : Pirates! Vous ne m'aurez pas ! Toutes les vieilles dames faisaient de la pub? toutes? non, car il subsistait à l'ouest de la Gaulle, dans une petite station, une irrésistible...

lundi 26 août 2013

Défection

Mes amies de l'Amicale d'amatrices de littérature, de chapeaux insolites et de cidre brut recevant ma lettre de démission pour cette année. Les AG vont devenir houleuses désormais, je faisais balancer les majorités lors des votes, ce ne sera plus le cas. La mort dans l'âme, je dois quitter la merveilleuse terre bretonne pour Paris (faut bien travailler) et je me languirai pendant une année de nos soirées cidre/histoires de korrigans. Ce n'est qu'un au revoir. mais je passe ma vie à dire au revoir. Je veux bien que toute notre vie est une suite de séparations, mais tout de même... Aurais-je la bougeotte? Mes amies de l'Amicale m'assurent que oui, mais elles elles ton un peu encroûtées, n'est ce pas?

dimanche 25 août 2013

Seizième devoir de vacances : s'immerger dans la culture locale

Et ceci par la théorie et la pratique. Pour la théorie, j'ai Ils sont fous ces Bretons,trousse de survie pour découvreurs d'Armoriques d'Erwan Vallerie, concentré d'humour et d'érudition parvenue de façon tout à fait méritée au delà de sa quinzième édition. Pour la pratique,après une virée à la braderie de Dinard, je vous présente mes amies de l'Amicale d'amatrices de littérature, de chapeaux insolites et de cidre brut pendant l'assemblée générale annuelle. Notre moyenne d'âge, remarquable, plaide en faveur d'une consommation sans modération de littérature et de cidre. Pour les coiffes, vous devinerez tout de suite où se trouve votre servante. J'aime mes copines, mais il n'y a pas à dire : ma coiffe bigoudenne est la plus belle!

samedi 24 août 2013

Parenthèse de travail

Signature dédicace à la Maison de la Presse Agora de Granville toute la journée. Un vrai bonheur dans la belle librairie de Madame Philippeau, des gens adorables, Augusta, Zoé, Claire et les autres, un bonheur de signer parmi les livres et , en point d'orgue, retrouvailles avec les formidables et immarcessibles Marland, en souvenir du Serge homonyme dont j'ai eu le bonheur et le privilège de publier et de mettre en scène une très belle pièce : La Cerclature du Carré.

jeudi 22 août 2013

Quinzième devoir de vacances : ce n'est qu'un au revoir.

Ce n'est pas un devoir, cela vous tombe dessus : pleurer d'émotion, soupirer de bonheur. Quarante ans que je n'avais revu Cristina, moins pour Gabi et Sorina, j'ai fait la connaissance de Paul, c'est comme nous nous connaissions depuis toujours et nous ne nous étions jamais quittés pour les "lâzâristi" car ce petit monde qui s'est entendu à merveille, ce petit monde dont chacun a une autre nationalité et vit dans un pays différent a passé quatre jours de bonheur absolu, parlant un sabir des douze langues que nous connaissons, rire, se donner signes et gestes de tendresse. Aux trois "Grâces" trinquant à leurs retrouvailles, l'émotion leur a tombé dessus devant la Gare de la Haye, à l'aéroport de Schipol. Partir c'est mourir un peu. Nous essayerons de ressusciter au plus vite.

Quatorzième devoir de vacances... rire, rire, rire.

C'est mon préféré : rire! Rire en bonne compagnie, rire à table, se taquiner entre amis, jouer avec les private jokes visiter ensemble le musée Echer (à La Haye! là je peux le dire car quelqu'un a trouvé!) et contempler les jeux des mathématiques et de la logique : vous savez la main qui dessine une main qui dessine la première main dans un musée magnifique de raffinement et d'insolence où vieux et neuf voisinent et se complètent. Et surtout rire encore.

mercredi 21 août 2013

Treizième devoir de vacances : les beaux musées

caresser son regard de belles choses : le musée Frans Halls à Haarlem (non, ce n'était pas la ville à deviner!), le Rijks Museum d'Amsterdam rouvert après des années de travaux (non, ce n'était pas Amsterdam non plus!) et ses Rubens, la fondation Kröller Müller, ses Van Gogh, son Ensor,son jardin d'émail et le parc des statues. et ses sculptures en plein air.

mardi 20 août 2013

Douzième devoir de vacances : céder à la gourmandise, et sans culpabilité, svp!

Bon, je triche un peu car aujourd'hui j'ai signé mes livres chez Monsieur Duquesnoy, à la Librairie du Môle à Saint-Malo, mais comme je ne vous avais pas fait le résumé des vacances dans la ville-sans-nom, j'y reviens.Donc douzième devoir : manger de bonnes choses. Votre servante est en train de se gaver de macarons. Cristina montre la quantité avalée par quatre ex condisciples, toujours amis, toujours hédonistes.

Onzième devoir de vacances : se replonger dans la tradition

pratiquer des coutumes anciennes de nos contrées européennes, en se replongeant dans le folklore. Vous avez dans l'image deux exemplaires de ce qu'on appelle dans le Baragan "paparuda", donc exécutantes d'une danse rituelle sous lancement de seaux d'eau de la population locale afin de provoquer la pluie, les paparude (mot valise composé de "papa"-manger- et de "rude" -parents-)étant habillées... disons :comme "de façon colorée" pendant qu'elles chantent "paparuda nuda vino de ma udâ" en syldave de cusine cela donne "pimbêche à poil/venez m'arrroser" (traduction non autorisée par l'Académie Syldave, comme nous le fait immédiatement préciser un membre de cette honorable institution). Après le folklore, se plonger également dans quelques rites religieux de la région : par exemple (c'était le 15 août) fêter les Marie.Les deux Marie authentiques, Cristina Maria et Sorina Maria, m'ont adoubée" Marie d'honneur" ce dont je les remercie de la façon la plus mariale. Et puisque dans la ville (que vous n'avez toujours pas devinée, petits polissons) les habitants , par ailleurs bien sous tout rapports (excellente police arrogante) n'ont pas l'habitude de jeter des seaux d'au sur des dames colorées, nous avons du nous contenter de la pluie qui, généreusement a embrassé (faute de les embraser) les trois Marie et demi... Et en image : Sorina Maria, la demie, votre servante Anca désormais Maria et Cristina Maria. Ave... gratia plena.

lundi 19 août 2013

Dixième devoir de vacances : retrouver ses amis, idéalement autour d'une table

Retrouver ceux que l'on aime et passer enfin du temps avec. Comme je l'écrivais ce matin à un ami, le voyage que je viens de faire, pour retrouver quatre des collègues avec lesquels j'ai étudié quatre ans dans un lycée de Bucarest, il y a quarante ans (c'est la série des 4, faut les jouer à la roulette, surtout que je viens de relire Le Joueur de Dostoïevski) nous a fait retomber en... adolescence : quatre jours où je chantais sous la douche (les autres en faisaient de même, mais le répertoire était différent), où l'on se taquinait, prenait dans les bras, offrait des fleurs et témoignait de l'affection dans les billets déposés le matin devant la porte de la chambre. Un de ces soirs, dans un restaurant de la ville (à canaux et vélos(que vous n'avez pas encore trouvée)des retrouvailles, un serveur, entendant la Tour de Babel de notre joyeuse tablée, nous demanda de quelle nationalité nous étions. Eclats de rire. Chacun déclara sa nationalité : un Finlandais, une Hollandaise, une Roumaine irréductible, et moi, la Suissesse, car dans les conjoints respectifs il y avait déjà un Français et un Allemand. De toutes les façons, nous parlions entre nous nous en italien puisque tout le monde le comprenait. Et que cela sonnait bien. J'ai été si heureuse, que je dois retrouver ma Bret.agne pour adoucir l'atterissage après ce voyage dans le temps.

Indice supplémentaire pour la devinette.

Là, c'est évident, de quelle ville il s'agit, oder..

dimanche 18 août 2013

Neuvième devoir de vacances : voyager et jouer aux devinettes

Jouer aux devinettes. Trois Grâces couleur pastel dans ...quelle ville?

mardi 13 août 2013

Faut reprendre le collier...

Un bref arrêt des devoirs de vacances pour cause de reprise d'activité, le mardi 20 août je signerai mes ouvrages à la plus belle librairie de St Malo, la Librairie du Môle, celle de M Duquesnoy, 12 rue de Dinan, porte de Dinan à partir de 17 heures.Le Samedi 24 août, au matin je serai de signature à l'Agora (ex maison de la presse à Granville. Je vous embrasse fort et espère vous retrouver bien vite.

lundi 12 août 2013

Huitième devoir de vacances : contemplation

prends garde à la beauté des choses. Je me souviens encore de l'émotion devant ma première rencontre avec une agapanthe. Mais comment cela tient? est-ce une fleur ou un buisson? d'où cela vient? que c'est bôooooo! Je ne m'en suis pas lassée, ce coup de foudre revient à chaque nouvelle rencontre. Je les partage avec vous, avant de les quitter pour
quelques jours.

dimanche 11 août 2013

Septième devoir de vacances : fréquenter la jeunesse... locale

Fréquenter la jeunesse locale. Parce qu'il n'y a pas d'autre. Et dire que Dieu s'est reposé le septième jour! PS Dinard est la commune de France dont la moyenne d'âge est la plus élevée. Al mezzo del'camin, je ne sais plus trop si j'aide la commune à maintenir ce privilège ou si je le sabote. Donc, je m'en balance.

samedi 10 août 2013

Sixième devoir de vacances : la distanciation

Quand on a déjà fondé une famille (éventuellement plusieurs), élevé un enfant (voir plusieurs), écrit quelques livres, bâti quelques maisons ou ce qu'il y a d'équivalent selon les professions, qui dira le bonheur exquis d'observer sur la plage des jeunes familles! Les mères s'occupent à s'angoisser puis à angoisser les autres en criant, les pères s'en fichent et après les "et, toi tu dis rien, tu vois ton fils et tu dis rien...!" talochent ou morigènent sans conviction, les bébés pleurent, les enfants hurlent, les belles-mères disent qu'elles ne se prenaient pas comme ça avec leurs mômes, les grands-pères ronflent ou racontent leur défunte vie professionnelle glorieuse, le beau-frère s'obstine à raconter qu'il s'est acheté une Porsche, le pique-nique se renverse dans le sable, le ballon de foot s'est dégonflé au fond du panier de plage, le téléphone portable égaré est retrouvé comme antenne du château de sable des enfants, les plus petits se sont fait piquer par des méduses et les plus grands tirent un visage de trois aunes parce qu'ils sont ados. On a perdu la clef de l'hôtel parmi les rochers, l'aîné avoue avoir oublié d'envoyer le dossier d'inscription à l'université qu'on lui avait préparé en travaillant trois jours d'arrache-pied, la cadette veut épouser un jean-foutre dont on ne veut pas et la benjamine annonce qu'elle va divorcer. La marée a emporté le tuba, on sera encore en retard à la crêperie et "je te l'ai dit cent fois..." Au moment précis où l'hystérie familiale atteint son comble, où chacun souffre, mais reste absolument imperméable aux autres, on se dit qu'on a déjà fondé une famille (ou plusieurs), qu'on a élevé les enfants, enterré la belle-mère, écrit ses livres, commencé à accumuler un nom correct de trimestres (ou non et là c'est pareil car c'est trop tard) et, avec un sentiment de totale plénitude, couché dans le sable sur son drap de plage une place, on regarde le paysage (cité d'Aleth dans le cas précis) et on se dit que la vie est belle, le monde merveilleux et que le plus beau de la vie est devant nous. Généralement, à ce moment là le soleil sort des nuages pour couronner notre sérénité durement acquise.

vendredi 9 août 2013

Cinquième devoir de vacances : dessiner, peindre, barbouiller

Redevenir créatif, peindre sur les murs, coustomiser... Comme Gotlib j'avais commencé par dessiner sur les murs de la maison, mais chez lui, des années après, cela donne "Olympia" et chez moi "La fée amphibie" (en raison des flotteurs)sur le mur de la cuisine.

jeudi 8 août 2013

Quatrième devoir de vacances : regarder les fleurs

Admirer les magnifiques jardins des voisins que l'on n'a pas besoin ni d'arroser, ni de tailler, encore moins de planter. Merci.

mercredi 7 août 2013

Troisième devoir de vacances : se plonger dans les bandes dessinées

Retomber en enfance (élève Chaprot) avec les bandes dessinées de Gotlib. Une très belle exposition a la Chapelle Saint-Sauveur de Saint-Malo. J'y ai passé trois heures à lire les planches, à suivre les vidéos avec un Gotlib Buster Keaton, à admirer la scénographie délirante. Et à retrouver Superdupont, Jujube, Gay Luron,le professeur Blurp, sa hyène et sa girafe, les scouts de la Sainte-Cucufa la coccinelle, Pervers Pépère sous la bannière de "L'effet coccinelle" largement plus démontré que l'effet papillon. Un pur bonheur avec des numéros de Fluide glacial, de l'Echo de Savanes et, bien sûr , de Pilote sur lequel plane l'ombre du père de la génération Mandryka/Brétécher/Gotlib : René Goscinny. Il faut que je retourne demain finir la Rubrique à brac, premier album qui est, en consultation. L'affiche (vous avez encore le temps) et deux des machines à écrire de Gotlib : la première et la dernière, dont le clavier est réduit aux lettres que l'auteur trouve indispensables :G,0,T,L,I,B. Un dessinateur de génie, du burlesque, de la sensibilité et de la finesse. Pas étonnant que Dieu l'aime.

mardi 6 août 2013

Deuxième devoir de vacances : naviguer

Prendre le P'tit Corsaire, saluant capitaine et mousse à l'aller et au retour, pour aller buller à St Malo sur la plage des Bons Secours et bâiller aux...goélands chaussée du Sillon, avant de revenir buller quai de la Perle à Dinard. Devoir sur flots : rendu.

lundi 5 août 2013

Premier devoir de vacances : fréquenter les bars avec vue mer.

Fréquenter des bars avec vue mer. Fait. Porter nouveau chapeau à la demande courtoise de J.A. Fait aussi. Vous embrasser. En cours.

Les vacances, enfin...

Avec Titouan de Besançon après une fructueuse pêche au crabe à l'appât de bernique (chapeau chinois ou arapède). "Dans la pèche, ce qui compte, c'est la patience." dixit Titouan, huit ans. Bonnes vacances!

dimanche 4 août 2013

Morbihan

A Vannes pour le décrochage des deux derniers tableaux exposés à L'Agapanthe chez Bernard Schot. Joie de revoir un homme de qualité qui m'a fait confiance pour exposer. Le coup de l'étrier, le coup de l'amitié avant de poursuivre plus au nord, vers Saint-Malo. L'esprit sioux d'Alexandra de "Toujours ensemble" n'est pas mort, Elisabeth comprendra.

jeudi 1 août 2013

Il n'y a pas de petit courage!

C'est un mini jardin boulevard Diderot dans le 12 ème arrondissement de Paris. Autour de chaque arbre, prière le laisser vivre de ne pas y jeter des mégots. L'humilité d'une vision de 30 cm de rayon. Vive la vie!