jeudi 22 août 2013
Quinzième devoir de vacances : ce n'est qu'un au revoir.
Ce n'est pas un devoir, cela vous tombe dessus : pleurer d'émotion, soupirer de bonheur.
Quarante ans que je n'avais revu Cristina, moins pour Gabi et Sorina, j'ai fait la connaissance de Paul,
c'est comme nous nous connaissions depuis toujours et nous ne nous étions jamais quittés pour les "lâzâristi"
car ce petit monde qui s'est entendu à merveille, ce petit monde dont chacun a une autre nationalité et vit dans un pays différent a passé quatre jours de bonheur absolu, parlant un sabir des douze langues que nous connaissons, rire, se donner signes et gestes de tendresse. Aux trois "Grâces" trinquant à leurs retrouvailles, l'émotion leur a tombé dessus devant la Gare de la Haye, à l'aéroport de Schipol. Partir c'est mourir un peu. Nous essayerons de ressusciter au plus vite.
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