mercredi 29 avril 2015

Hommage posthume

Chouette, si on meurt sous les coups d'un compagnon violent, on a un square à son nom, alors?
Ah oui, à condition d'avoir été célèbre avant de succomber? Finalement, ce n'est pas un bon plan...

samedi 11 avril 2015

Remanences du Caucase

Dans l'hésitant printemps parisien, les trois coeurs du tatouage d'Hélène et tous les trésors de l'amitié et de Colchide réunis dans le collier de grenats offert par Lika m'entourent de tendresse. Les amis ne sont jamais loin lorsqu'on les porte dans le coeur. Je dis bien les amis. Car, pour la famille, Bazin proclame : "Où est-on mieux qu'au sein d'une famille? Partout ailleurs."
C'est mon premier selfie, faut vivre avec son temps.

vendredi 3 avril 2015

Résumé des chapitres précédents... et géorgiens

Quel pays que l'ancienne Colchide! un vrai bonheur de paysages, d'humanité, de fruits paradisiaques, chaque grenade porte le souvenir de Parajdanov et tout ce public francophile, instruit, posant des questions subtiles, avançant des analyses originales. Une image du café littéraire à la médiathèque française, le souvenir d'une Antigone d'Anouilh qui, heureux hasard, se donnait en géorgien au théâtre avec une troupe remarquable et une belle mise en scène, visite du trésor du musée, vin géorgien, toasts et amitié.

jeudi 2 avril 2015

DE RETOUR

Lecteurs bijoux, lectrices bien aimées,
je ne vous ai pas oublié, comment le pourrais-je,
mais tout de suite après la fin de l'écriture de la biographie d'Orson Welles et le Salon du Livre, j'ai foncé à Tbilissi pour des conférences à L'Institut Culturel Francais de Géorgie. Les émotions tant amicales que professionnelles ont été si fortes! je dois encore un peu faire le tri et vous raconter les hasards fantastiques et l'accueil chaleureux, les découvertes formidables. En attendant, cette photo qui vous en donne une idée de l'ambiance : peintre hélvéto-géorgienne , Lika Zeender, et vôtre servante mendiant des subventions pour les artistes. Ce qui me rappelle un très joli titre de livre : Petit traité de mendicité culturelle. Mais où l'ai je rangé donc?