vendredi 4 avril 2014

Ravalement de façade.

Mon immeuble est caché par des échafaudages pour le ravalement demandé par la mairie de Paris. Ce sont des choses qui arrivent dans une vie citadine et qui vous mettent sens dessus dessous un programme déjà plein comme un oeuf. Après avoir déménagé les plantes de balcon et fait valdinguer une précieuse jardinière toscane du XIX eme (heureusement qu'elle n'a tué personne) et passé toute une soirée pour essayer de fermer les volets métalliques, j'ai fait appel aux ouvriers. Voici l'équipe grâce à laquelle je pourrai vivre dans le noir et l'intimité pendant les deux mois qui suivent. Il ne manque que votre servante en septième samouraï. Je lis Dernières nouvelles du Jazz (Editions L'Age d'Homme) de Jacques Aboucaya, avec émotion, rires et intérêt, j'espère arriver à le lâcher ce soir car demain, à l'aube brune, je repars...

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