lundi 26 octobre 2015

Lendemain d'épreuve

Même moi qui connais et apprécie la qualité et la rapidité des lecteurs-trices de mon blog, je suis épatée. Nos fins limiers ont découvert et la contrainte (Jamais sans toi, peut être avec un autre" Et pourquoi pas une autre d'abord?) et la signature implicite : eh oui, je m'appelle Anca Gabriela. Je fête l'archange car, sauf moi, il n'y a pas de sainte Anca. Bien que je compte sur une canonisation, mes amis s'en occuperont quand j'aurais rendu mon... squelette. Donc : l'ancre, pas trop grave? Mais j'aie sans toi, avec l'autre, les échangistes me barbent un peu. Résultat des courses, j'ai fait service minimum. De minuit à Une heure trente du matin j'ai pondu et taché de chiader un 8000 signes (sur les 20 000 maximum demandés, j'ai "envoyé le poulet", comme on le disait dans le temps et me suis réjouie de l'accusé de réception par courriel des diables et avocats. Un ami facétieux m'a fait remarquer que c'était pendant la grève du barreau. Bref je me suis couchée, la conscience en paix , laissant travailler les autres. Comme je n'aurai pas le prix ( dans les 338 candidats il doit y avoir au moins 337 meilleurs que moi...) je vous promets, le 26 mars, de vous balancer ma prose érotico-nocturne sur le blog. Et en attendant une image qui bien sur n'a strictement rien à voir. Tendresses.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

jamais sans toi peut s'interpréter il vrai comme un appétit pour les parties échangistes mais aussi l'interdit du plaisir solitaire ou encore un serment de fidélité inscrit dans le marbre à défaut de l'anneau du Seigneur il est vrai toutes choses d'un érotisme bien tempéré. L'œil de la caméra ou derrière le trou de serrure fait davantage monter les palpitations dans l'attente d'un dénouement extatique ( je préfère à orgastique plus banal) et l'on oubliera celui qui était dans la tombe et regardait Caïn lequel était certes coupable mais pas du péché de luxure. Quant à la luxure pour la pratiquer avec joie, sans vergogne sur une table de restaurant ou tout autre lieu libéré par une imagination débridée et libérée de toute contrainte morale, pas nécessairement de tout lien, respectons les fantasmes, encore faut-il avoir la pêche pour la pratiquer, voire devenir un pratiquant d'une religion qui s'appellerait l'amour ! l'amour! l'amour ! Un sacré changement et un changement sacré dans notre monde de brutes ! Deo gratias bien sûr et délire sur des mots d'encre qui errent sur l'ancre d'une belle phrase, jamais sans toi.

Anonyme a dit…

Je n'y comprends rien. ou sont cachés les noisettes?
l'écureuil de l'image