vendredi 16 octobre 2015

Une belle soirée au Cabanon

Cette belle librairie de la rue de Charenton est dédiée à l'architecture et au design. Hier, autour d'une projection de "Citizen Kane", une belle rencontre-dédicace autour d'Orson Welles m'a fait retrouver mes amis et des lecteurs nouveaux autour de verres de spritz confectionnés avec art et charme par Mario, notre hôte(deuxième depuis la gauche sur la photo). Une belle soirée d'échanges, de retrouvailles et de rencontres passionnantes avec un douzième arrondissement cosmopolite puisqu'il y avait des canadiens, des israéliens, une franco-hélvéto-roumaine et même des "Francais de souche". Mon Dieu, qu'ai je écrit, je vais me faire allumer par les bien pensants. Quand je pense que Jean-Jacques Goldman a été accusé de paternalisme et de racisme pour avoir voulu parler aux jeunes, tout est à craindre. Mais un cabanon couvert de branchages de sincère affection, aux murs d'amitié et aux fenêtre d'ouverture à autrui ne devrait pas souffrir du politiquement correct.
Ah, à propos d'ouverture sur le monde, le même jour j'ai reçu de la chancellerie de Patagonie mes lettres de créances comme consule de Dinard, je brûle d'envie de vous exhiber ce pompeux document plein d'ironie, ce que je ferai... demain.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Je cherche sur Google des nouvelles d'un homme que j'ai connu il y a quelques années, Claude Moretti. Et je tombe sur votre blog. Vous avez du charme, vous avez une vraie plume mais je n'ai ni le courage ni le temps de parcourir votre journal pour comprendre qui vous êtes et ce que vous faites. qui êtes vous et que faites vous?

jeflebreton@laposte.net

Anca Visdei a dit…

J'adore Claude Moretti, un homme formidable et un artiste raffiné. Pour faire court, j'étais auteur de théâtre et Claude m'avait fait un projet d'affiche pour le Théatre de la Huchette où il travaillait souvent et ou la pièce était prévue. Nous sommes restés amis jusqu'à la fin. Hélas, la sienne. Je continue à écrire et actuellement je fais la promotion (ça c'est un plaisir, on voit des lecteurs) de ma biographie d'Orson Welles qui aurait eu cent ans cette année. Et vous?