mardi 16 juillet 2013
ELENA et son chef
J'ai toujours rêvé sur les programmes du Festival d'Aix. Grâce a des amis marseillais qui se sont donné la peine de faire la fille des potron-minet a l'ouverture de la vente de billets, me voilà au Jeu de Paume. Elena de Cavalli qui n'a plus été jouée depuis 350 ans. Preuve que je ne dois pas désespérer pour mes pièces non jouées. Si la postérité fait son travail au moins aussi bien que pour Cavalli, dans 250 ans on rejouera Photo de Classe. En attendant, j'écoute de la musique. Et le chef et claveciniste(et auteur de l'orchestration instrumentale de cette Elena ressuscitée à partir de la partition, c'est... Mais bon sang, mais c'est bien sûr : c'est Garcià Alarcòn, le musicien argentin auquel je dois ma plus belle soirée a l'Opéra Comique : Il Diluvio Universale de Falvetti. Bonheur absolu du baroque, joie de chanteurs et instrumentistes formidables, intelligence de la mise en scene de Jean-Yves Ruff, bonheur de ce festival qui ressemble a cette belle ville harmonieuse et inspirante. Retenez le nom du chef : ce sera, c'est un grand!
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3 commentaires:
NB. On dit faire la file et se faire la fille.
Ah ! ces écrivains qui ne se relisent pas !
Et plus : se faire la fille des potron-minet, donc de Mme et M. Potron-Minet dès potron-minet !
Littérature quand tu nous tiens...
oh, charmants esprits mal tournés! Je vous remercie et je ne corrige pas pour que l'on comprenne vos commentaires. Bisous. Anca
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