A Zürich, au bord de la Limmat, par une journée magnifique, je refais un pélerinage des lieux que j'ai aimés dans cette ville où j'ai vécu deux belles années : la Bergstrasse de Züriberg où ma voisine bien aimée m'apprenait le schwitzer dütch, le Storchen, le coin de Bellevue où l'on mange des schubligs debout, les ponts où des fanfares se produisent. Au musée de la littérature, une exposition sur les "morts à Venise" : Thomas Mann et Wagner. La ville est fleurie, joyeuse, malgré les marteaux piqueurs et les pelleteuses (wir bauen fur Zürich). Vie à Zurich, une parenthèse Walden qui m'aura marquée à jamais : il me suffit de quelques minutes dans la ville et j'y retrouve mes repères.
jeudi 11 juillet 2013
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