Christine Angot dont le fonds de commerce unique est une une partie de son corps (voire deux si l'on voit en espace) et les assauts qu'elle subit, nous fait entendre sa condamnation sévère du livre de Iacub.
lundi 25 février 2013
Compréhension de la cul.... ture
Tout le monde en parle, faut que je m'y colle! DSK dépose plainte contre le livre de Marcela Iacoub qui le décrit mi homme mi cochon. DSK a raison : c'est insultant de le créditer d'une moitié humaine, il a toujours agi pour nous persuader du 100%... onguligrade. Vous voyez, je suis compréhensive, polie et j'ai du vocabulaire. Jerome Garcin dans le Nouvel Obs (rien de personnel, dans le même numéro il y a un bon article de Delfeil de Ton sur ma biographie d'Anouilh, merci) consacre une longue défense avant parution, de bonnes pages, la couverture du journal, une interview de Marcela Iacoub (faute du cochon, je suppose) à ce qu'il considère comme un livre qui fera date. Sauf les annales judiciaires et la jurisprudence des attentes à la vie privée, (j'ajouterai aussi la cruauté envers les animaux mais la plainte de DSK ne mentionne pas ce délit), je n'en suis pas certaine, mais je comprends Jerôme Garcin : qui n'a pas bu un coup de trop, qui n'a pas été surmené, qui n'a pas eu envie d'un coup de pub là maintenant, que celui là lui lance la première pierre. Qui n'a pas dit, au moins une fois dans sa vie, une grosse...
Christine Angot dont le fonds de commerce unique est une une partie de son corps (voire deux si l'on voit en espace) et les assauts qu'elle subit, nous fait entendre sa condamnation sévère du livre de Iacub.
Ayant tout lu avant de m'exprimer, il me souvient qu'Angot raconte ses aventures sexuelles avec un Pierre Rozinès (dont elle écrit le nom réel), auteur et journaliste qui a voulu intenter un procès mais qui, homme sage bien que piégé-faites attention avec qui vous couchez; il y en a qui ne le font pas pour le plaisir mais pour écrire leur prose, sus aux exploiteurs: ils ne donnent jamais un pourcentage sur leurs droits. Je m'étonne donc modérément que Christine Angot s'en prenne si violemment à Iacub. Crainte de la concurrence? Il font tout de même le même métier, que je ne nommerai pas : un peu d'esprit de corps. Je comprends aussi Angot menacé dans sa petite entreprise. Je comprends tout le monde, on peut passer à autre chose? par exemple à la littérature?
Christine Angot dont le fonds de commerce unique est une une partie de son corps (voire deux si l'on voit en espace) et les assauts qu'elle subit, nous fait entendre sa condamnation sévère du livre de Iacub.
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