Oufff, après la dernière de mes "Confessions d'une séductrice" , je vais me ressourcer aux spectacles des camarades. Un magnifique dimanche passé au Théâtre du Ranelagh, d'abord "Au bal d'Obaldia" tissage châtoyant de textes interprétés, vécus, incarnés par l'excellent Brock et mis en scène par Stéphanie Tesson, ensuite, "Du vent dans les branches de Sassafras" mis en scène par Thomas Le Douarec avec une belle distribution homogène qui provoque tout à tour, rires, émotions, surprises et une constellation poétique de feux d'artifices de théâtre. Pour continuer dans cette veine poétique, visionnaire et raffinée, je recommande la lecture de L'Exobiographie de René de Obaldia. De l'avis général, Monsieur le Compte a réussi son triomphe théâtral et humain au Ranelagh
2 commentaires:
Sur une toute autre galaxie, à quelques rétro-années lumières, la lecture de la presse économique avait son arrière-goût de prière du matin (Hegel dixit). Une connaissance amie dont j’appréciais le bon sens m’avait conseillé tel quotidien plutôt qu’un autre : "renseigné, factuel, ne se dérobant pas à la critique, mais aimant les entreprises".
Merci d’avoir donné les références du blog de Danielle Dumas. La qualité et la teneur de son propos sur les "Confessions" m’ont poussé à y aller voir. Je n’ai fait qu’y butiner – sa densité au cours de sa demi-douzaine d’années d’existence laisse imaginer ce qu’il y a à y découvrir et s’en imprégner. En émane un amour pour le théâtre (et pas seulement : voir le nuage de mots en cliquant sur "Toutes les archives") qui donne envie de s’y rendre plus souvent et de façon moins aveugle.
Anecdotique ? La plupart des commentaires sur le billet "En perdre son latin" (Noli me tangere) sont en anglais.
Blog contagieux – pas étonnant que pour sa rentrée dans l’atmosphère, Anca soit passée par la case Obaldia / Ranelagh.
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Oui, en effet,
elle est passionnée, compétente,cultivée et elle aime le théâtre : comme il doit être aimé. Avec exigence éclairée. Anca
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