lundi 29 juillet 2013
Traduttore traditore
Fan déçue devant la statue du musée Puchkine fermé.
Fan déçue avoir acheté très beau livre illustré des contes de Pouchkine en français.
Fan déçue avoir admiré la beauté du livre et de la reliure et avoir trouvé table de matières
son conte préféré sur le quel elle avait jadis fait une version que je vous joindrai.
Fan déçue s'est mise à rire car Le petit poisson d'or était devenu "Le poissillon"
Oisillon/Poissillon, cela devrait la faire... couï couïKKKK
dimanche 28 juillet 2013
Maisons d'écrivains à Saint-Petersbourg


samedi 20 juillet 2013
Dans notre série : on adore les originaux...
mardi 16 juillet 2013
ELENA et son chef
J'ai toujours rêvé sur les programmes du Festival d'Aix. Grâce a des amis marseillais qui se sont donné la peine de faire la fille des potron-minet a l'ouverture de la vente de billets, me voilà au Jeu de Paume. Elena de Cavalli qui n'a plus été jouée depuis 350 ans. Preuve que je ne dois pas désespérer pour mes pièces non jouées. Si la postérité fait son travail au moins aussi bien que pour Cavalli, dans 250 ans on rejouera Photo de Classe. En attendant, j'écoute de la musique. Et le chef et claveciniste(et auteur de l'orchestration instrumentale de cette Elena ressuscitée à partir de la partition, c'est... Mais bon sang, mais c'est bien sûr : c'est Garcià Alarcòn, le musicien argentin auquel je dois ma plus belle soirée a l'Opéra Comique : Il Diluvio Universale de Falvetti. Bonheur absolu du baroque, joie de chanteurs et instrumentistes formidables, intelligence de la mise en scene de Jean-Yves Ruff, bonheur de ce festival qui ressemble a cette belle ville harmonieuse et inspirante. Retenez le nom du chef : ce sera, c'est un grand!
samedi 13 juillet 2013
jeudi 11 juillet 2013
Eternel retour
A Zürich, au bord de la Limmat, par une journée magnifique, je refais un pélerinage des lieux que j'ai aimés dans cette ville où j'ai vécu deux belles années : la Bergstrasse de Züriberg où ma voisine bien aimée m'apprenait le schwitzer dütch, le Storchen, le coin de Bellevue où l'on mange des schubligs debout, les ponts où des fanfares se produisent. Au musée de la littérature, une exposition sur les "morts à Venise" : Thomas Mann et Wagner. La ville est fleurie, joyeuse, malgré les marteaux piqueurs et les pelleteuses (wir bauen fur Zürich). Vie à Zurich, une parenthèse Walden qui m'aura marquée à jamais : il me suffit de quelques minutes dans la ville et j'y retrouve mes repères. 
mardi 9 juillet 2013
Lien
Pour la leçon de roumain, une belle interview de votre servante.
http://infoinsider.ro/1001-scrisori/anca-visdei-fructele-vin-ca-o-recompensa-desi-placerea-creatiei-a-fost-deja-un-cadou/
Comme je suis sympa, je traduis le titre :"Les succès arrivent comme une surprise car la plaisir de la création est déjà un cadeau".
dimanche 7 juillet 2013
J'ai de la peine
Hier soir, après une jolie fête franco-allemande Place de la
République, pleins d’enthousiasme et de bons sentiments, nous allons dans un
restaurant, la Pharmacie, rue Jean-Pierre Timbaud à Paris. Le jeune serveuse porte
un tee shirt gris clair sur lequel est marqué « Joy Division ». Je
lui demande si elle sait ce que cela
veut dire. Elle nous répond : c'est un groupe musical anglais . Le groupe de
Ian Curtis, mort en 1980, on est au courant. Mais d'ou vient le nom Joy
Division? Comme elle n'a pas l'air de savoir, je lui explique : c'était un
terme d’argot qui désignait dans les camps nazis un groupe de prisonnières qu’on
obligeait à devenir des esclaves sexuelles de l’occupant. Nous lui expliquons
qu'en tant que femme, ma foi, porter, servir à manger, se présenter avec ce tee
shirt, à deux pas du Marais qui conserve encore le souvenir des rafles, c’est
au delà de l’indélicatesse. Pas de problème, elle nous envoie une autre
serveuse et promène son tee shirt vers les autres tables. Qui la défendra quand
on l'aura intégrée à une Joy Division? Et à quand les tee shirt « Ceausescu
for ever » , « Staline, mon amour », « Les camps, c’était
le bon temps », etc etc… ? J’ai honte pour elle, et j’ai peur pour
nous tous. L’oubli de l’histoire met notre avenir en danger. Que l'on soit
ignare, cela arrive, mais que l'on persévère... perseverare diabolicum...
Boycott! Et on a très bien mangé dans un restaurant voisin.
mercredi 3 juillet 2013
Paris est triste...
... sous la pluie chiche et morose de ce début de juillet. Les jambes des femmes sont libérées des bas, à la recherche d'un rayon de soleil égaré, mais prudence oblige, on porte imperméables et parapluie à toute heure. Le moral dans les savates, je me console et essaie de vous remonter le moral par cette image de mon paradis terrestre breton qu'imprudemment j'ai quitté pour des déraisonnables obligations parisiennes. Dans une fenêtre de verdure, s'encadrent mer, bateau et côte lointaine de la terre corsaire. Tenons bon : l'été finira par venir.
lundi 1 juillet 2013
Lundi matin de bonne heure
Lundi matin, les deux frères qui à huit heures se dirigent vers l'école sous l'oeil vigilant de la mère ont le même sweet orange et le même cartable sur lequel triomphe Superman. Je voulais vous trouver deux cadres proches de la retraite avec leur uniforme costard-personnal computer pour illustrer le retour de Superman. Mais je n'en ai pas trouvé : ils étaient déjà au travail.
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