mardi 17 juin 2014
Dresde avant Paris!
Du bonheur pur, expliquez-moi cependant comment cela se fait qu'ayant écrit une" Lady Shakespeare" en fracçias pour le 450ème anniversaire de la naissance du Barde je sois jouée et traduite en allemand, italien et même flamand et qu'en français on "mégote" encore. Me trompe-je où les intermittents matent plus de temps à découvrir les auteurs de leur langue qu'à défendre leur droits? Je précise que les auteurs de théâtre ne sont pas intermittentes du spectacle (on doit être des permanents à vie, comme la prison, pain et eau) alors que le moindre comédien qui dit nos textes, le moindre accessoiriste ou maquilleuse qui "collaborent" à la mise en images ou sons de nos textes le sont. En Allemagne , il n'y a pas d'intermittents : je suis jouée et traduite bien qu'auteur français. Idem an Italie. Idem aux Flandres. Les intermittents aideraient ils les auteurs francais à se faire jouer? Les pays sans ce système seraient ils plus favorables aux auteurs, même étrangers?
Je vous en laisse joutes, mais quel bonheur de voir ma première mondiale en allemand pour une pièce écrite en français. Nul n'est prophète en son pays? Excusez du peu : j'ai déjà "fait" la Roumanie et la Suisse, cela va presque mieux qu'en France…
bizarre, vous avez dit bizarre… En tout cas un beau, un très beau spectacle allemand d'une pièce française.
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