Mais pourquoi nous bassine-t-elle avec le moindre flocon de neige à Paris? Cela ne lui suffit pas qu'on a de la peine à circuler, que les mamies glissent et que les papis toussent? Elle nous impose un port avec des bateaux bâchés et, au loin, une colonne de la Bastille avec un génie de la liberté frigorifié, sorte de Cupidon ayant brisé ses chaînes. C'est que... si la misère est, selon Aznavour, plus supportable au soleil, l'hiver semble plus doux avec une nuance de blanc. Et la neige me rappelle irrésistiblement mes deux pays : les deux géographiques et le vrai, l'éternel : celui de l'enfance.
samedi 19 janvier 2013
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire