Hier, c'était encore plein de rires d'enfants, de terreurs précoces et d'enthousiasmes inquiétants et frais : le Château de l'Aventure. Je passe aujourd'hui. devant la Plage de l'Ecluse, une jeune femme, seule, peine à dégonfler, au propre comme au figuré, le rêve conte de fées. Elle est souriante, on se salue, le vacances touchent à leur fin, je dois rentrer à Paris, dernières corrections de la biographie d'Anouilh à paraître dans un mois. Le château reviendra l'été prochain, Anouilh dans un mois : à la Comédie française et sa biographie aux Editions de Fallois. Heureusement, il y avait du grain sur St Malo aujourd'hui en le quittant, sinon j'en aurais pleuré.
mardi 14 août 2012
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2 commentaires:
homme libre toujours tu chériras la mer
les bulles comme les chateaux( pas seulement en Espagne ) ont pour vocation de se dégonfler
pas de miracle
mais la capacité d'enthousiasme de l'homme est inépuisable et de nouveaux chateaux de sable ou d'air pur viendront remplacer les anciens et les enfants battront des mains et les coeurs se réjouiront
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