mercredi 1 juin 2011
La décade merveilleuse
Décidément, c'est le tour de tous les hommes de théâtres que j'admire. Retrouvailles à Istanbul avec Ferhan Sensoy, auteur excellent, metteur en scène, acteur, et directeur de théâtre avec lequel nous partageâmes pendant des années les succès de Aptallara güzel gelen Telvizyiön Dizilleri (La Patiente) et de Don Juan ile Madonna (Dona Juana et Atroce Fin) mes pièces traduites, interprétées et mises en scène par Ferhan, l'homme de théâtre vivant qui m'aura le plus appris, aidée, impressionnée. Depuis de longues années son spectacle Ferhangysheiller" se joue à guichets fermés, sans parler du succès de ses livres et de ses chroniques dans la presse.
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2 commentaires:
Après les péripéties péripatéticiennes, salade niçoise, et une excursion enchanteresse et de haut vol dans le ciel parisien, retour vers la Mare Nostrum, côté Empire d’Occident puis Empire d’Orient – pour se réjouir de l’accueil et de la diffusion des pièces les plus porteuses de la signataire du blog.
Après l’imaginaire et le bonheur, et avant de se réveiller à poing fermé, évocation à juste titre d’une décade merveilleuse. Vous avez dit, décade… Étymologiquement, ce ne peut être qu’un espace de 10 ans. Mais, dans la doulce géométrie hexagonale, l’esprit de finesse, version 1793, est passé : le calendrier décadaire se saucissonne en tranches de 10 jours, certains puristes clamant de façon exagérée que la terminaison du mot reflète le dies latin. Et pour signifier 10 ans, on a opté pour décennie. Conviction qui n’a pas été partagée au-delà du susdit périmètre.
Décade, poil à gratter ? Pour la liasse de billets dont vient de nous gratifier le blog, ce n’est pas sûr – pourquoi ne pas jouer sur les deux tableaux ? Un dizaine de jours qui illustrent une (pour le moins) dizaine d’années.
Dix années de travail pour dix jours de pleine lumière. Au mieux. merci de comprendre. Anca
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