...pour ma première sortie de convalescente, au Parc des Buttes Chaumont, j'ai pu admirer... un cèdre du Liban. Cela tombait bien car au Liban, la seule excursion que j'avais ratée était celle qui nous amenait aux cèdres. Dont acte et texte didactique correspondant, merci la Mairie de Paris. Ce parc est si beau, si grand que je me demande pourquoi je n'y vais pas plus souvent. Cet après midi il était presque désert et tendrement caressé par un vent, évidemment frivole depuis Brassens.
vendredi 28 juillet 2017
mercredi 26 juillet 2017
A quelque chose malheur est bon...
Rien de tel qu'un gros rhume en été pour (enfin) prendre le temps de relire ses journaux intimes et trier ses photos. Mais quelle vie intéressante! se dit-on. Je ne l'aurais pas cru... Le temps qui passe nous éloignerait donc de nous en nous rendant à l'universel, en nous ouvrant à la magie quotidienne que l'on ne voit pas sans recul? Je sens que je vais rester malade encore un petit moment...

lundi 24 juillet 2017
jeudi 20 juillet 2017
Lectures
Voyage au Liban oblige, j'ai enfin fini par lire Le quatrième mur de Sorj Chalandon. Mais comment ai je pu passer à côté, surtout que le roman est aussi un hommage à l'Antigone de Jean Anouilh. Je suis tombée un peu par hasard sur Joann Sfar (dessinateur du Chat du rabbin et réalisateur du Gainsbourg, vie héroïque) avec son Comment tu parles de ton père. Une pure merveille : mais ce type a tous les talents! Rajoutez le tome 4 des Incorrigibles L&M d'Elisabeth Santa-Croce (à trouver sur Amazon) roman picaresque et inventif, dans un style des grands jours et avec un humour omniprésent. Je suis en train de finir ce festin littéraire (La lecture, ce vice impuni) par Entendre l'enfant d'Aldo Naouri. J'aime le lire d'habitude, mais là, je suis é-pa-tée. "Je suis é-pa-té" disait Anouilh en guise de bravos.
mardi 18 juillet 2017
En voyage
mercredi 5 juillet 2017
Adieu, monde cruel...
... parisien et même pire, germanopratin. Je quitte l'arène littéraire pour vivre un bonheur paisible loin des egos déchaînés, une idylle paisible et côtière avec Bertrand, le brocanteur de mes rêves. Ne vous fiez pas à mon air dégoûté, c'est juste une moue chaste assortie à la coiffe, mais intérieurement, je jubile. Et vous avez tout de même vu Bertrand! Et son stand!On ne vous propose pas cela deux fois dans une vie. Kenavo, les amis!
PS Je précise que cette blague innocente ne porte en rien préjudice aux droits absolus et imprescriptibles de la légitime épouse de Bertrand.
PS Je précise que cette blague innocente ne porte en rien préjudice aux droits absolus et imprescriptibles de la légitime épouse de Bertrand.

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