Mon père n'étant pas si haut placé (quoique... on ne sait jamais là-haut) il ne me reste que trente jours jusqu'à l'anniversaire de mes cent ans. Et ce que je n'aurais pas fait avant, je ne le ferai jamais. Donc bagages et, comme le chantait Barbara "taxi, à la Gare de Lyon" vers mon berceau affectif. Dernière notes au piano, dancing privé à la maison sur les m"ladies du cher Fabrizio de André et hop, aux origines. Gardez bien la maison, la France et l'Europe car je n'ai pas encore pris mon billet de retour.
Ciao ragazzi, ciao ragazze ciao.
