dimanche 16 août 2015

Voir Landerneau et puis...

J'y suis : l'inaccessible étoile est devant moi. Après L'Islande, Bali, la Suisse, enfin cette ville qui se définit par son seul nom, bien au delà du pais : Landerneau. Je suis venue pour le voir, lui. Il était au rendez -vous, marchant immobile comme espéré. Je l'avais déjà rencontré, trop rarement à mon goût, sur les coupures de cent francs du pays de son père.
Onze salles d'expositions retraçant les grandes étapes de l'oeuvre de Giacometti, deux films où le sculpteur-peintre parle et travaille à l'ancien couvent des Capucins du Fonds Leclerc pour la culture.
Ne voulant laisser ni mes lecteurs bien aimés ni mes lectrices adorées sans nouvelles, je me suis posée à la terrasse d'un café, au bord de l'Elorn, dans l'espoir d'une connexion internet. Espoir un peu fou étant donné le décor rustique. Jugez-en :
Paradoxes de la Bretagne, je suis apparemment arrivée sans peine. Je ne vous quitte que pour passer ce dimanche de la mi août consacré à l'Assomption en compagnie des éternels mots vivants du génie grison.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Dommage que Giacometti n'ait pas connu Anca Visdei, il l'aurait saisie dans un élan plein de vigueur créatrice, la femme qui court...

Anca Visdei a dit…

Hi hi, c'est gentil! Il a aussi fait un Homme qui chavire. moins connu, mais très émouvant. Je me remets à courir, demain salon du livre de la rentrée au Cap Ferret.