Juste retour des choses : je me suis deux fois trompée d’arrêt de bus. Descendant trop tôt, allant trop loin, cela finit par une marche de quelques kilomètres sur la grève et dans les champs. Ce qui donne la lamentable et dégradante scène de désespoir (malgré le sourire) ci-dessus. Je précise qu’il faisait au moins trente à l’ombre.
Je n'ai échappé à une mort certaine par déshydratation que grâce à la bonne Samaritaine que voici, Maryvonne Beaujour, bénie soit elle. Habitant la jolie maison fleurie de géraniums et d'artichauts au numéro 31 des Portes Rouges elle me sauva la vie et me rendit à mes foyers et à vous, inestimables lecteurs sans pareille.
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