samedi 19 juillet 2008
ENTRE DEUX EAUX
Dans le TGV Rennes-Saint-Malo de cet après-midi, quittant le golfe du Morbihan pour l’embouchure de la Rance, joie de retrouver Louis-Charles Sirjacq, excellent scénariste, traducteur et surtout auteur dramatique ( L’Argent du Beurre, « Les riches reprennent confiance ») et de roman (« Comment j’ai tué mon chat ») et surtout, titre de noblesse absolu à mes yeux, natif d’Ille et Vilaine, ex-lycéen de Saint-Malo. Retrouvailles fêtées à l’eau, comme vous pouvez admirer. Bonus : sur le quai d’arrivée, l’attendait la très très jolie Ana, sa fille toute en blondeur et grâce.
La rencontre d’un confrère m’a irrésistiblement fait penser au Festival d’Avignon où le succès de l’équipe de « Toujours ensemble » arrive à mes oreilles à travers les demandes pressantes des bons libraires qui sont en rupture de stock du livre : »Les gens voient le spectacle, ils aiment, donc ils se précipitent ensuite pour acheter le texte. On a vendu le dernier ce matin, il faut nous en envoyer… » Oui, oui au premier courrier de lundi, mais en attendant, comme le disait Laetitia Bonaparte « pourvu que dourre ! »
Libellé : théâtre
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