jeudi 22 janvier 2009

Ma voix par l’éther…

Lecteurs-trices chéri-e-s,
Vous me boudez ?
Vous ne me lisez plus ?
Si vous voulez entendre par l’éther ma douce voix (et mon « charmant accent », c’est vous qui l’avez dit, camarades !) répondant aux questions de Brice Depasse, (un journaliste intelligent et sensible) au sujet de mes deux derniers romans, voici le lien pour écouter l’émission podcastée diffusée par Radio Nostalgie et en première sur Skynet
http://lireestunplaisir.skynetblogs.be/
Merci à Alain Trelu pour le beau portrait qui figure sur le site.

Pour les flemmards, voici un extrait de l’article :
« Une table, le midi, aux Deux Magots, bd St Germain, boulevard des écrivains. Je retrouve la dramaturge roumaine, l'adorable et géniale Anca Visdei. Nous parlons de L'exil d'Alexandra (…) J'ai écrit tout le bien que je pensais de cette belle oeuvre (cliquez sur la couverture), cet échange de lettres entre deux soeurs que séparent le rideau de fer, les kilomètres et bientôt des décennies. Un document-fiction remarquable, drôle et émouvant sur la Roumanie de Ceaucescu et l'exil ».
Brice Depasse
« L'exil d'Alexandra est l'adaptation romanesque par l'auteure de Toujours ensemble, la pièce de théâtre qui a fait le succès d'Anca Visdei de New-York à Tokyo et en Avignon.
Alexandra va passer les fêtes de la fin d'année 1973 en Suisse, le pays où elle vient de demander l'asile politique. Elle écrit à sa soeur cadette, restée en Roumanie, un pays qui s'apprête à vivre deux terribles décennies sous le régime de Ceaucescu.
La solitude d'Alexandra et la misère de son pays natal qu'elle a fui la mort dans l'âme, c'est ce que Anca Visdei propose de vivre à ses lecteurs au travers des lettres de deux soeurs que lient l'amour familial et la passion du théâtre. Alexandra est auteure; elle découvrira cet occident tant espéré mais qui ignore tout de sa chance d'être libre. Iona est comédienne; elle découvrira que s'il faut plus de courage pour rester dans ce pays que pour le quitter, la vie ne s'arrête pas pour autant.
Un texte puissant, authentique qui contient tous les éléments de la vie avec ses drames, ses bonheurs, ses larmes et ses rires. L'épisode de la chute du dictateur vu à travers les yeux d'Alexandra devant sa télé mais aussi ceux de Iona et de sa grand-mère dans les rues de Bucarest vaut son pesant de Milan Kundera ou de Philip Roth.
Un endroit où aller, un livre à lire et à vivre ».
Brice Depasse
Suit un article sur mon second roman, mais j’en ai assez fait, ma modestie (déjà durement éprouvée) en prendrait un coup si je le citais.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Je l'ai déjà dit, cette pièce inspirée n’a pas son pareil d’intensité émotive.

Radu

Anonyme a dit…

Lire est toujours un plaisir. Je lis, je lis et je lis, et je lis beaucoup ce que vous faites.

Je suis d'accord : "l'exil d'Alexandra" est un roman très émouvant.

Mirouette