mardi 6 janvier 2009
My left foot
L’Alice de Lewis Caroll s’imaginait, devenue géante, en train d’envoyer des lettres à son pied adressées à « Son Excellence le pied gauche d’Alice ». Pour la Fête des Rois, j’ai couronné mon pied gauche. Qui a été très méritant ces derniers jours. Je vis désormais sur un grand pied, anobli de surcroît.
Sur le net, je tombe sur cette information : « Sous Louis XIII, les grandes dames qui tiraient la fève devenaient reines de France d’un jour et pouvaient demander au roi un vœu dit « grâces et gentillesses « . Louis XIV abolit cette coutume. » Quand j’ai raconté l’histoire, on m’a demandé :
- Quel âge avait Louis XIVlors de l’abolition ?
Grâces, gentillesses ? Avec G comme gâteries ?
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2 commentaires:
Je vois que tout le monde se tait, hypocritement embarrassé, quoique ''naturalia non sunt turpia'', comme disaient nos ancêtres, qui en savaient quelque chose là-dessus…
Anca nous apporte ici la preuve irréfutable que Louis, quatorzième du nom, n’a pas fait que des bonnes choses, comme on a communément tendance à le croire.
Mais qu’est-ce qui lui a donc pris, au bon vieux roi Louis, d’abolir une si agréable coutume, au lieu de prendre son pied ?
Vite, pas Le Pen, mais Freud, allons nous nous renseigner auprès du grand psychanalyste, qui dit : ''nous ne savons renoncer à rien, nous ne savons qu'échanger une chose contre une autre'' !
Radu
J'en ai une autre, du même Sigmund :
"Un homme ne souffre jamais autant qu'en renonçant à une satisfaction qu'il a déjà éprouvée"
Je crois qu'il écrivait Mench pour homme donc homme et femme.
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