mercredi 22 octobre 2008
UN PARADIS RETROUVE
Lecteurs chéris, je pars faire un petit tour abroad, mais si vous avez du temps, allez faire un tour au Grand Palais pour voir Nolde. Non, rassurez-vous, il n’était pas nazi, vous enverrais-je autrement ? Il eut toutes ses toiles en bonne place à l’expo de l’art dégénéré et, interdit de peinture, il fit ses peintures sans peintures, aquarelles à la barbe des dictateurs. Sa joie de vivre répond de son authenticité et sa Crucifixion tient la comparaison avec cclle de Grünewald , c’est tout dire. Quant à ses Adam et Eve ci–joints et peints sous le titre Le Paradis perdu, si le monde devait recommencer sur des meilleures bases, ce serait sur celles-là. Que votre joie soit sans nuage. Comme la sienne lorsqu’il peint.
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4 commentaires:
Et in Arcadia ego.
Meilleures salutations aux
amateurs de peintures fauves.
Radu
merci
merci
Pas mal comme Paradis mais celui de la rue Buffon tient la comparaison avec un chat ange gardienne et des oiseaaux blancs déployés dasn un ciel de rêve. Et le serpent ? Parti se cacher sous terre de peur d'engraisser les goélands comme un vulgaire vermisseau
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