mardi 28 octobre 2008

Déprimée

Grâce à Brigitte qui a deviné (commentaire du message précédent) vous avez failli échapper aux deux indices supplémentaires. Il s’agissait d’une membre du club des Bernois de Zürich, genre l’amicale bretonne de L’Aveyron. Pour m’être exilée deux fois, je sais que ce n’est pas la distance qui compte, regardez cette pauvre Madame Angot (pas la fille comme dans l’opérette) exilée de son fief germanopratin ou presque à la Porte de la Chapelle. Aïe, Aïe. Survivra-t-elle ? Hélas, oui.
Dures images ce soir sur l’exode de milliers de personnes au Congo. En même temps que d’autres images, devenues récurrentes des réfugiés géorgiens qui commencent à réaliser qu’ils ne rentreront jamais en Ossétie.
J’attends de clavier ferme des propositions pour ma reconversion professionnelle. La vie littéraire et théâtrale, à quelques exceptions notables près, devient presque aussi laide que le reste du monde. J’ai essayé d’y « collaborer », j’en ai honte. J’entre en résistance. Merci d’avance pour les idées. Je vous embrasse avec amicale effusion.

PS Et puis, voici tout de même les indices. Dans ce monde trop bousculé trop violent, j’ai trop envie de vous le montrer : la Limat à Zürich et une paisible vache bleue.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

tu peux toujours essayer la finance!...quoi que...c'est le monde en général qui est dur! garde-nous ton talent et ecris, écris, écris!!!!