Comment la préférez-vous cette image de Venise,
avec des mains issues de l'au ou émergeant du bateau?
5 commentaires:
L'ivre roulant
a dit…
Préférence : les mains seules. S"il fut se résoudre à y voir aussi un bateau, une gondole n'aurait-elle pas fait mieux ? D'autant que le contour des doigts en rappellent la proue. À moins de vouloir laisser imaginer que de passer des gondoles aux bateaux à moteur a noyé l'âme de Venezia - dont on ne voit plus que les mains qui dépassent...
Le bateau est un modérateur du choc de ces mains dont on voit qu'elles ne sont pas des grappins que tel un pirate il lancerait à l'assaut du gaillard d'avant d'un pansu galion. Il n'est donc pas opportun et nous mène en bateau en essayant de nous faire croire que la vie continue alors que Venise est au bord du gouffre et que ces mains de noyé donnent plus l'impression d'une tentative désespérée de consolider un édifice chancelant. L'image est forte, comme un appel à sauver un monde en voie de disparition. Il faudrait l'envoyer à M Trump s'il était capable de la comprendre, à portée de ces mains. Félicitations à la photographe qui a saisi le drame existentiel de Venise entre gloire passée et angoisse de trépasser.
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Préférence : les mains seules.
S"il fut se résoudre à y voir aussi un bateau, une gondole n'aurait-elle pas fait mieux ?
D'autant que le contour des doigts en rappellent la proue.
À moins de vouloir laisser imaginer que de passer des gondoles aux bateaux à moteur a noyé l'âme de Venezia - dont on ne voit plus que les mains qui dépassent...
Beau commentaire... merci. Sinceramente.
Mains trop blanches
Cadavérique
Noyade?
Venise qui était à porter de main
Était énigmatique
Qui n'empêche le déroulement de toute navigation.
Mains trop blanches
Cadavérique
Noyade?
Venise qui était à porter de main
Était énigmatique
Qui n'empêche le déroulement de toute navigation.
Le bateau est un modérateur du choc de ces mains dont on voit qu'elles ne sont pas des grappins que tel un pirate il lancerait à l'assaut du gaillard d'avant d'un pansu galion. Il n'est donc pas opportun et nous mène en bateau en essayant de nous faire croire que la vie continue alors que Venise est au bord du gouffre et que ces mains de noyé donnent plus l'impression d'une tentative désespérée de consolider un édifice chancelant. L'image est forte, comme un appel à sauver un monde en voie de disparition. Il faudrait l'envoyer à M Trump s'il était capable de la comprendre, à portée de ces mains. Félicitations à la photographe qui a saisi le drame existentiel de Venise entre gloire passée et angoisse de trépasser.
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