Je me demande si ce n'est pas l'un de mes plus beaux.
Et je me réponds : oui.
Dimanche, Arsilda, reine du Pont de Vivaldi à l'opéra de Versailles par le Collège 1704 (orchestre et chanteurs formidables) et table d'Anne-Sophie Pic, rue du Louvre, c'est une grande artiste de la gastronomie, vraiment.
Et aujourd'hui? je tricote un article pour un colloque :"Après le déluge, nous". Et dire que c'est moi qui ai choisi le titre!
En attendant, une fois n'est pas coutume, je trouve le commentaire de Lila Turnover sur un mien précédent envoi, tellement formidable que je veux lui laisser la plume pour le partager avec vous. D'autant plus qu'elle a trouvé la réponse de la devinette.
Et comme on dit dans les salles de vente : "nous y ajoutons" une photo de l'agapanthe
en question dans mon jardin de Bastille... avez vous remarqué qu'entre agaçante et agapanthe il n'y a que deux lettres de différence? injustice du vocabulaire.
Donc citation de Lila T. :
"La canicule s’estompe - les fleurs ont toujours besoin d’être arrosées.
Les domaines d’Anca s’étendent jusqu’au bassin de l’Arsenal, proches de la Bastille.
Les jours se suivent qui nous rapprochent de celui à marquer d’un caillou blanc.
La devinette restait encore en suspens.
Si tout doit se terminer par une chanson, essayons de faire d’une pierre trois coups :
À la Bastille..
Anca prend soin de son jardin :
Elle fait pousser des agapanthes.
L’ jardin d’ qui ça ? D’Anca !
Des agapanthes, où ça ?
À la Bastille…
Pour son anniversaire,
Qu’y a-t’ il de mieux,
Que d’ mettre en lumière,
Son côté fleur bleue ?
Éclosion d’une fleur,
Justement demain...
Chantons tous en chœur
Encore ce refrain :
À la Bastille…"
Chantons donc!
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