Onze salles d'expositions retraçant les grandes étapes de l'oeuvre de Giacometti, deux films où le sculpteur-peintre parle et travaille à l'ancien couvent des Capucins du Fonds Leclerc pour la culture.
Ne voulant laisser ni mes lecteurs bien aimés ni mes lectrices adorées sans nouvelles, je me suis posée à la terrasse d'un café, au bord de l'Elorn, dans l'espoir d'une connexion internet. Espoir un peu fou étant donné le décor rustique. Jugez-en :
Paradoxes de la Bretagne, je suis apparemment arrivée sans peine. Je ne vous quitte que pour passer ce dimanche de la mi août consacré à l'Assomption en compagnie des éternels mots vivants du génie grison.
2 commentaires:
Dommage que Giacometti n'ait pas connu Anca Visdei, il l'aurait saisie dans un élan plein de vigueur créatrice, la femme qui court...
Hi hi, c'est gentil! Il a aussi fait un Homme qui chavire. moins connu, mais très émouvant. Je me remets à courir, demain salon du livre de la rentrée au Cap Ferret.
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