lundi 18 mai 2015

Les voies impénétrables...

Donc j'étais là où vous n'avez pas deviné, entourée d'amis et de bougainvilliers, j'arrivais même à y travailler pour une traduction, quand j'ai du rentrer à Paris. Dernières corrections pour la biographie d'Orson Welles, départ en fabrication, donc j'allais tourner en rond pendant une semaine comme le compagnon d'une parturiente qui fait les cent pas à l'entrée de la salle de travail, qui énerve tout le monde et ne sert à rien, qui, tout au plus, combe dans les pommes, en créant des problèmes supplémentaires. Là, je me suis dit que ranger les disques serait une activité suffisamment absorbante pour me faire patienter et suffisamment mécanique pour m'empêcher de penser. Hélas à ce moment là, j'ai cédé à la tentation : j'ai voulu réécouter une chanson de Barbara...

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