lundi 17 janvier 2011

Survols






Une sculpture de Bourdelle, une fleur d'acier qui vit au rythme de ses soeurs végétales, un rythme d'enfer, de splendides paysages et, du côté obscur, le souvenir d'une dictature atroce,la place de Mai dont les abouelas (grand mères) n'ont jamais désarmé à la recherche des disparus victimes de la dictature et de leurs enfants volés.

2 commentaires:

Laurent V a dit…

Il n’y a pas que dans les films que la vie prenne les apparences d’un roman (c’est par ailleurs – autre titre d’Alain Resnais – le 25 juin prochain que l’on célèbre le demi-siècle de « L’année dernière… »), l’avalanche bloguesque qui déferle ici (bravo) nous rappelle aussi qu’il peut y avoir un moment pour tout et un temps pour toute chose sous le ciel (Qo 3:1).

Anca Visdei a dit…

Ah tout de même, un lecteur qui me fait signe. Oufff. Et merci. Je me sentais un peu seule. Déjà 50 ans pour Marienbad! Comme les siècles passent...