J'adore. La neige et les balancelles du Parc Monceau sous la blanche couette. J'ai mis mes crampons suisses à mes bottes pour photographier cet éternel début de monde pour vous. Pourquoi ne hiberne-t-on pas? Comme tout le monde, donc comme la nature. Une belle phase de Thomas Mann me revient à l'esprit sur l'intelligence qui s'incline devant la beauté de la nature, ce qui est le sommet de l'harmonie. L'harmonie ultime évoquée dans "Le Concert" de Radu Mihaileanu, présenté il y a deux soirs au Méliès de Montreuil. Une belle oeuvre d'humour, de courage, d'humanisme, où le match art/politique est arbitré par un dieu invisible qui n'envoie pas de fax mais qui sait magnifier un orchestre. Avec la rencontre de la belle tribu des Mihaileanu en prime : les deux fils et le papa Ion, journaliste, comédien dans le film, mascotte, héros de "Trahir", charmant jeune homme plein de vie et d'enthousiasme. Allez voir Le Concert : on pleure, on rit et on sort plus intelligent et, surtout, plus heureux, meilleur peut-être. Si vous hibernez, vous pouvez trouver le DVD avec un très drôle et bien fichu making off. Je vous jure : je n'ai pas le pourcentage la-dessus, mais cette page de blog est à l'image de toute l'histoire de ma vie. Je pense vous inciter à hiberner, puis, d'une pensée à l'autre, je vous invite à aller au cinéma. Mais c'est un cadeau sans prix, comme l'était le précédent film du même réalisateur :"Va; vis et deviens!". Allons, vivons,devenons. Quoi? ce que nous sommes comme le dit le vieil adage.
samedi 19 décembre 2009
Musiques d'hiver
J'adore. La neige et les balancelles du Parc Monceau sous la blanche couette. J'ai mis mes crampons suisses à mes bottes pour photographier cet éternel début de monde pour vous. Pourquoi ne hiberne-t-on pas? Comme tout le monde, donc comme la nature. Une belle phase de Thomas Mann me revient à l'esprit sur l'intelligence qui s'incline devant la beauté de la nature, ce qui est le sommet de l'harmonie. L'harmonie ultime évoquée dans "Le Concert" de Radu Mihaileanu, présenté il y a deux soirs au Méliès de Montreuil. Une belle oeuvre d'humour, de courage, d'humanisme, où le match art/politique est arbitré par un dieu invisible qui n'envoie pas de fax mais qui sait magnifier un orchestre. Avec la rencontre de la belle tribu des Mihaileanu en prime : les deux fils et le papa Ion, journaliste, comédien dans le film, mascotte, héros de "Trahir", charmant jeune homme plein de vie et d'enthousiasme. Allez voir Le Concert : on pleure, on rit et on sort plus intelligent et, surtout, plus heureux, meilleur peut-être. Si vous hibernez, vous pouvez trouver le DVD avec un très drôle et bien fichu making off. Je vous jure : je n'ai pas le pourcentage la-dessus, mais cette page de blog est à l'image de toute l'histoire de ma vie. Je pense vous inciter à hiberner, puis, d'une pensée à l'autre, je vous invite à aller au cinéma. Mais c'est un cadeau sans prix, comme l'était le précédent film du même réalisateur :"Va; vis et deviens!". Allons, vivons,devenons. Quoi? ce que nous sommes comme le dit le vieil adage.
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