jeudi 26 novembre 2009

25 novembre


Coiffer la Sainte-Catherine chez les massaï. Le même jour ouverture du salon du livre pour la jeunesse à Montreuil. Ne voir aucun lien entre les deux événements sauf... travailler du chapeau.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Les guerriers Massaï (on écrit aussi bien Maasaï) boiront volontiers du petit lait à lire cette page du blog qui leur est consacrée. Outre le chapeau, ce qui pourrait aussi faire le lien entre les deux évènements (Massaï et livres pour la jeunesse) résulte de ce que c’est précisément à la fin du primaire, au moment de l’initiation que le conflit entre vie traditionnelle et scolarisation y est le plus tendu. C’était le commentaire, il y a 15 ans à peine, d’une anthropologue de l’ORSTOM (à l’époque, rue Rochebrune à 500 m de la mairie de Montreuil) qui soulignait que, la journée scolaire terminée, les jeunes guerriers rejoignent les membres de leur classe d’âge et, le soir, chantent et dansent dans les borna en compagnie des jeunes filles qui, elles aussi, ont abandonné l’uniforme scolaire et revêtu leurs bijoux… et, lorsqu’elles veulent déclarer leur amour à un guerrier, l’invitent chez elles pour boire du lait.