mercredi 25 mars 2009

A chaque jour sa merveille...


Le printemps avance masqué par des brouillards glacés et de grands vents, mais j’en vois des prémices. Tous les jours. Depuis hier, ces camélias ont osé fleurir sous la protection de l’arrosoir, bleu comme voudrait l’être le ciel, suspendu comme le sourire du chat de Cheshire dans « Alice au pays des merveilles ». Une réminiscence musicale : « et moi, je suis le fils de mon papa et j’ai des camélias aux yeux » Leny Escudéro… Je me trompe ?

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