lundi 16 juin 2008

Vous me manquez


Lecteurs chéris, nos amours sont contrariées et c’est un scandâââle ! C’est pas le cœur qui manque, c’est la technique qui a failli. En ce moment, mon existence, c’est la petite boutique des horreurs. Après la panne internet et la fuite d’eau, la loi des séries frappe sans pitié. J’avais pour vous de belles images du mercredi 11 juin quand j’ai présenté, en compagnie de Séverine Garde-Massias, à la Maison du Limousin « Toujours ensemble » ma pièce qui sera joué par son Théâtre sur le Fil en Avignon, j’avais un portrait photographique très réussi de notre électricien qui est arrivé à faire reculer les ténèbres qui commençaient à s’installer dans ma bicoque (le disjoncteur qui ne sautait au début que lorsque j’éclairais le jardin s’était mis à faire grève lors de l’allumage des plaques électriques, de la machine à laver, du four) . J’étais devenue sale, pas grave, je fais comme d’habitude, mais aussi affamée : une vraie tragédie. Malgré ces drames divers, j’ai pu aller au théâtre, encore des photos pour vous, à voir mon ophtalmo’ (j’avais aussi sa photo et il est joli !) à assurer avec un grand bonheur à la Librairie Mille pages une marathon lecture midi-minuit où j’ai connu entre autres charmants et précieux loecteurs Chloé, Dominique et ma compatriote Léa, belles photos sans parler des libraires qui sont tous jeunes et joli(e)s… tout cela sur mon joli appareil numérique. J’allais vous les balancer sur la toile.. quand mon doux assistant, fiancé, époux et tutti quanti le perdit ! Il ne dut son salut qu’ à la Fête des Pères, jour d’amnistie. Ce qui vous prie également des photos du spectacle gai, insolent, intelligent de Jean-Louis Jacopin sur Topor. Le temps de retrouver un œil numérique, je vous envoie un des derniers clichés pris par le disparu. Ce qui explique qu’il n’y a aucun rapport avec ce qui précède sauf que … c’est aussi une boutique, mais de splendeurs. Shoshanim (les roses) 234 avenue Dizengoff à Tel Aviv, tenue par Shoshana, la rose que voici.

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