mardi 7 juillet 2015

Les sculptures de Reykjavik

Un étrange panachage de volumes fermés, mastoc, pesants et de formes creusées, comme vidées de leur âme... De l'originalité et de l'humour. N'oublions pas qu'il y a en Islande un elfe par habitant (oui, je sais les statistiques présentent un autre chiffre, mais moi j'en suis encore à one man one vote donc un Islandais un Elfe) et qu'ici on parle du "peuple caché" celui des fées, elfes, sirènes, nymphes et autres esprits.

4 commentaires:

Anonyme a dit…

La tête vide il faut la soutenir car ellle peut s'envoler , la tête lourde il faut la soutenir souos le menton car elle peut tomber
Ah zut! dernière étape : elle a disparu ! envolée ou tombée ? !

Anonyme a dit…

La tête vide il faut la soutenir car ellle peut s'envoler , la tête lourde il faut la soutenir souos le menton car elle peut tomber
Ah zut! dernière étape : elle a disparu ! envolée ou tombée ? !

Ivona Rullert a dit…


Ah ! Madame Anca, grâce à vous l’Islande nous paraît déjà moins étrangère : sa mer de lichen, son soleil de minuit, le Svarta Kaffiđ qu’on règle en couronnes puisque la marche vers l’Euro s’y est récemment interrompue, la baleine aux œufs de saumon. Sans oublier ni les Elfes ni la saga. N’y a-t-il qu’une seule saga ou des sögur (pluriel dans la langue du pays) ? La saga ne peut en tout cas n’être qu’islandaise.

Vous embrigadez de plus un ours polaire aux yeux presque innocents à la cause wellesienne – le chevauchant avec la fierté non dissimulée d’avoir su le dompter. Danielle DUMAS, qui a fait les beaux jours de l’Avant-Scène Théâtre pendant une vingtaine d’année ne s’y est pas trompée. Dans son blog ainsi que sur Facebook, elle vient tout juste d’inviter, en «hommage au génie» à se nourrir d’une autre saga… celle que vous avez consacrée à Orson WELLES.

Anca Visdei a dit…

Ivona, merci, votre commentaire me ferait pâlir de jalousie, car il parle si bien de l'Islande, n'était-ce sa qualité devant la quelle on ne peut que s'incliner. De plus merci merci à ces deux commentaires car je désespérais d'an avoir. Je me disais : tiens tiens, quand il y a de la bagarre ils interviennent tous, quant je traite un joli sujet et je l'illustre pour partager les images qui m'ont charmée ou intriguée, il n'y a plus personne, Merci, merci d'être là.