lundi 25 février 2008

Eblouissement



Je ne résiste pas de vous parler d’un jeune artiste. Ces 21 et 22 février, j’étais au Musée Unterlinden de Colmar, muette d’admiration devant le retable d’Issenheim peint par Matthias Grünewald entre 1512 et 1516. On m’en avait dit des merveilles, c’est bien au delà. Modernité, liberté et originalité, un message qui parle depuis cinq cents ans. Merci et foncez! Il y a encore à Colmar comme à Karlsruhe, jusqu’au 3 mars des expositions de dessins préparatoires et de gravures contemporaines de l’exécution du retable dont la partie sculptée par Nicolas de Haguenau est également exceptionnelle. Et des sculptures médiévales à vous arracher des larmes par leur humanité éternelle. Et humble.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Longue vie au bébé blog en espérant qu'il sera bavard, dans l'attente de son babil.