camarades bien aimés de Bucarest : Dan, Gabi, Silé, Corina, Viorel, Anca, Gabi. Oui, c'est exact, je suis en train de frapper, malgré mon sourire hypocrite, mon cher collègue Sorin. Ce sont des meurs de taquinerie courantes dans notre fratrie qui se réunit régulièrement, malgré les disparitions et les exils, dans la brasserie situé dans le grand parc qui entourait notre bien aimé lycée. Ce parc où, les veinards, faisaient l'école buissonnière. Moi, sérieuse, chef de classe responsable élue par eux, je faisais le guet dans la classe, mais ils ont dû finir par m'influencer. J'ai fini par comprendre : ce 26 septembre, au lieu d'assister à l'Institut culturel français de Bucarest à la représentation de ma pièce par une troupe de Marseille, j'ai fait l'auteur buissonnier en disant au revoir à ma ville natale, cheminant le long des quais de al Dambovitza, traversant la grand Place du Palais, mangeant des gâteaux dans une confiserie. Il n'est jamais trop tard...
samedi 1 octobre 2016
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