Les deux commentaires précédents m'ont fait espérer l'intérêt de mes lecteurs, je vous joins donc la quatrième de couverture du recueil, hommage à mes confrères, Quant à la remarque précédente sur Jean Dutourd, je me rends compte, on ne se refait pas, que mon panthéon de gentlemen flingueurs il compte trois Jean : Dutourd grâce auquel, même post mortem, je dois d'être devenue la seule femme du Club des Ronchons, Jean Raspail qui m'accorda, avec sa classe et sa munificence habituelles, le consulat patagon de Dinard et qui m'enchanta avec la saga d'Antoine Tounens, roi de Patagonie et, bien sûr, Jean Anouilh, mon ami et mon modèle. Ce sont des prénoms anciens, ce sont des hommes à l'ancienne, tiens : trois moustaches, des insolents portant cravate, à la dent dure et à l'échine peu souple, des travailleurs acharnés qui ne résistent pas à un canular. J'espère que l'espèce n'est pas éteinte.
L'editeur du recueil me précise ceci :
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