samedi 11 avril 2015

Remanences du Caucase

Dans l'hésitant printemps parisien, les trois coeurs du tatouage d'Hélène et tous les trésors de l'amitié et de Colchide réunis dans le collier de grenats offert par Lika m'entourent de tendresse. Les amis ne sont jamais loin lorsqu'on les porte dans le coeur. Je dis bien les amis. Car, pour la famille, Bazin proclame : "Où est-on mieux qu'au sein d'une famille? Partout ailleurs."
C'est mon premier selfie, faut vivre avec son temps.

2 commentaires:

daniel pestieaux a dit…

Madame Visdei,

C'est vraiment extra d'entendre parler de la Colchide, de Parajdanov et de lire tout ce que vous avez pu écrire sur votre dernier séjour en Géorgie.

Pour autant, en votre qualité d'écrivain/journaliste, il me semble que vous devriez faire preuve d'un peu moins d'égocentrisme et d'informer vos lecteurs des publications susceptibles de bouleverser leur vie quotidienne.

Vous pourriez ainsi parler du livre " le charme discret de l'intestin " par Giulia Enders, magnifiquement illustré par Jill Enders ( Acte Sud )

Comme le fait observer Anne Crignon ( dans l'Obs ), Giulia Enders a tiré de la mécanique de nos entrailles un petit précis de poésie gastrique.

Des conseils pratiques y figurent.

Sachant que jusqu'à 20% de la population occidentale est atteinte de constipation, que votre blog est sans doute lu par plus d'un millier de vos admirateurs, c'est au moins 200 personnes que vous auriez pu directement aider à résoudre leurs problèmes de transit en parlant de cet ouvrage dans votre blog.

Avec le bouche à oreille, c'est sans doute au moins plus de mille personnes à qui vous auriez pu rendre leur vie plus confortable.

Je n'en reste pas moins votre fidèle admirateur

Anca Visdei a dit…

Je rajoute l'ouvrage excellent, à peu près sur le même sujet et intitulé "Tout se joue dans l'intestin " de l'excellent professeur nippon, le docteur Hiromi Shynia.