mardi 8 juillet 2014

The Lady of the lake

Enfin dans mon élément. Ne me laissez pas là : sinon au coucher de soleil je me transforme en créature de l'eau. Sirène, bulle d'air, vouivre… Puis au fond , laisses-moi là, j'y serai peut être plus à ma place…Je vous embrasse tous, d'entre les pampres et les roseaux. La réalité est bien plus belle : ce sont des agaçantes en bouton. Et moi, je suis au Paradis.

2 commentaires:

Ursus tremulans a dit…

La Vouivre, diantre !!!
Celle de Marcel Aymé, ou sa petite cousine ?
Aussi séduisante ? Aussi dangereuse ?
J'en tremble d'effroi.

Anca Visdei a dit…

Heureuse que quelqu'en s'en souvienne. La Vouivre de Marcel Aymé… Et, souvenir personnel : quand Jean Anouilh a lu mon premier roman (qui a fini par s'appeler L'Eternelle Amoureuse et, dans sa version théâtrale et romanesque revue et corrigée Confession d'une séductrice) il m'a écrit "La Vouivre, ce serait un bon titre, dommage qu'il soit pris!" Mais Jean Anouilh était bon aussi pour les titres. C'est lui qui avait trouvé le titre de la pièce de Marcel Aymé contre la peine de mort : "La tête des autres".