mardi 25 février 2014

Varia

En attendant… le bateau plat, entre des villages dont les seules ressources sont la culture des vers à soie et le tissage. Et de plus en plus les touristes qui regardent ces deux activités. Glissements de terrain fréquents, maisons indécises entre ciel et eau, végétation luxuriante hérissée par ci par là d'un drapeau rouge frappé d'une faucille et un marteau (tiens, cela faisait longtemps que je n'en avais plus vus), le palais royal (dont le fresque a été peinte par l'artiste française Alix André)n'a eu qu'à accrocher une pancarte "musée national" et le tour est jouée. Lecture d'un excellent polar (pour une fois et parce qu'il se passe au Laos) : "Le déjeuner du coroner" de Colin Cotterill, plein d'humour et de charme. Ascension aux grottes aux milles Bouddhas (assez répétitif), temples et préceptes du bouddhisme peints sur les façades des monastères. Le Satri House, un coin de paradis dont l'âme est un jeune et dynamique manager français qui fait le lien entre les deux cultures avec finesse et élégance. La douceur de vivre laotienne et les traces du passée y coexistent dans un environnement empreint de raffinement et de bonne humeur. Dans la bibliothèque de l'hôtel, parmi d'autres livres français "Pourquoi la Grèce" de Jacqueline de Romilly, je n'en suis qu'à la préface, mais c'est déjà un enchantement.

1 commentaire:

Ursus meditans a dit…

Mieux que la littérature, le Smartphone est le plus sûr garant de la pérennité de l'Être.

Confucius