mardi 2 septembre 2008

Compensations


Bien sûr, il ne me reste qu'un jour au bord de la mer, et il pleut des cordes sur Dinard,
bien sûr des romans de la rentrée (pourtant il y en a plus de quatre cents!) les media nous matraquent avec les plus vils,
bien sûr demain c'est la rentrée des classes,
"Bien sûr il y a les guerres d'Irlande et les peuplades sans musique,
mais voir..." le sourire d'Alice, on est tout de même au monde des merveilles.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Comment mieux exprimer cette fin de saison, que JR Caussimont
et ce cher vieux Léo.

On voyait les chevaux d'la mer
Qui fonçaient la têt' la première
Et qui fracassaient leur crinière
Devant le casino désert
La barmaid avait dix-huit ans
Et moi qui suis vieux comm' l'hiver
Au lieu d'me noyer dans un verr'
Je m'suis baladé dans l'printemps
De ses yeux taillés en amande

Ni gris ni verts, ni gris ni verts
Comme à Ostende et comm' partout
Quand sur la ville tombe la pluie
Et qu'on s'demande si c'est utile
Et puis surtout si ça vaut l'coup
Si ça vaut l'coup d'vivre sa vie

Anonyme a dit…

De beaux yeux, un magnifique sourire et les belles paroles de JR Caussimont, un à propos parfait pour dire oui à la vie sans s'encombrer de microcosmes

Anca Visdei a dit…

Ca vaut l'coup d'vivre sa vie! Tant mieux, j'y étais.