dimanche 6 août 2017

Alina

C'est vrai, j'avais 39 de fièvre, mais je n'ai pas résisté à la joie de revoir mon amie admirée, l'écrivain Alina Diaconu, de passage à Paris (elle vit à Buenos Aires) et d'échanger nos projets.
à

2 commentaires:

  1. Lerude marc6 août 2017 à 06:07

    Ce petit éclat de lumière
    Yeux merveilleux
    Yeux enfievres
    Deux amies qui se retrouvent

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  2. Lerude marc6 août 2017 à 23:19

    Hymne au désert
    Aux voiles enveloppées
    D'un Linceul immaculé
    L'envol de l'oiseau
    Au lointain silencieux

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