mercredi 5 juillet 2017

Adieu, monde cruel...

... parisien et même pire, germanopratin. Je quitte l'arène littéraire pour vivre un bonheur paisible loin des egos déchaînés, une idylle paisible et côtière avec Bertrand, le brocanteur de mes rêves. Ne vous fiez pas à mon air dégoûté, c'est juste une moue chaste assortie à la coiffe, mais intérieurement, je jubile. Et vous avez tout de même vu Bertrand! Et son stand!On ne vous propose pas cela deux fois dans une vie. Kenavo, les amis!
PS Je précise que cette blague innocente ne porte en rien préjudice aux droits absolus et imprescriptibles de la légitime épouse de Bertrand.

1 commentaire:

  1. Loin de l amour naissant
    Si proche de la mer
    Facetie?
    cruelle réalité?
    Bonheur de la farceuse
    Délice de l instant
    Beauté des objets et des êtres
    devenus porcelaines précieuses
    Sourire à la vie

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